La majorité des notices sont des notices géographiques issues d'un travail réalisé à l'occasion des conférences pédagogiques de 1913.
Les conférences qui ont lieu en 1912 et en 1913 répondent à une volonté exprimée par le ministre d'utiliser les compétences et les ressources des instituteurs pour valoriser et faire connaitre aux élèves leur histoire locale et leur territoire, dans le but d'éveiller chez eux un sentiment patriotique. Ainsi les conférences de 1912 portent sur l'histoire locale et les conférences de 1913 qui forment la majorité du corpus conservé aux archives départementales porte sur la géographie locale. Il est demandé de fournir non pas « une dissertation pédagogique », « sur la géographie locale » mais « une documentation géographique très simple, très nette et très précise ». L'inspecteur académique, Léon Déries enthousiaste à l'idée de constituer l'Histoire du département où il exerce, loue et exalte le travail à accomplir par les instituteurs : « Rassemblés, tous les mémoires que vous aurez ainsi rédigés, constitueront une documentation à la fois, rétrospective et contemporaine sans précédent. Les plus petites, aussi bien que les plus grandes communes de votre beau département, trouveront dans ce travail une exacte reproduction de leur image passée et présente. Grâce à vous, on connaitra plus tard, avec exactitude, le mouvement de la population scolaire, la vie industrielle, commerciale, agricole, dans ses traits les plus saillants ».Un petit nombre de notices sont des notices sur l'école de la commune réalisées à l'occasion de l'exposition nationale et coloniale de Rouen en 1896 et un autre petit nombre sont des notices agricoles réalisées à l'occasion l'exposition universelle de 1900.
- 124 J 1-400
La provenance des notices est diverse, elles proviennent de dons de particuliers. Cette série reste ouverte pour accueillir de nouvelles notices qui pourraient parvenir jusqu'aux archives départementales.
Histoire des conférences pédagogiques et des monographies d'histoire locale.
Histoire des conférences pédagogiques
- Origines
L'Histoire des conférences pédagogiques va de pair avec l'histoire de la formation des instituteurs. Cette dernière est un sujet qui occupe une part non négligeable dans l'histoire de l'école et de l'évolution de la pédagogie. Les écoles normales primaires sont présentes dès la convention de Brumaire et Frimaire an IV. Elles tirent leur origine du Décret impérial de 1808 qui organise l'Université. Les ambitions de ces « classes normales sont assez modestes, elles se bornent à initier les futurs maitres d'école à « montrer à lire, à écrire et à chiffrer ». La première école normale d'instituteurs est créée en 1810 à Strasbourg, elle sera la seule pendant plusieurs années. Il faut attendre 1832 pour l'ouverture d'une école normale dans la Manche. L'Ordonnance du 29 février 1816 peut être considérée comme l'acte de naissance de l'enseignement primaire. Elle stipule qu'il sera formé, dans chaque canton, un comité gratuit et de charité pour surveiller et encourager l'instruction primaire. Elle détermine également les conditions pour pouvoir exercer les fonctions d'instituteur, notamment l'obtention d'un brevet de capacité du recteur.
- 1829-1856 - Les premières conférences pédagogiques
C'est Henri de Vatimesnil, premier titulaire du ministère de l'Instruction publique qui va relancer la politique de création d'écoles normales primaires en 1828. C'est également à lui, dans sa circulaire du 31 janvier 1829, qu'on doit une des premières mentions officielles de conférences où les instituteurs se réunissent pour discuter des diverses questions qui se rattachent à leur profession. L'idée d'une instruction pour le plus grand nombre se répand et l'arrivée de Guizot au ministère de l'Instruction publique entérine cette idée. La loi du 28 juin 1833 oblige les communes à avoir au moins une école primaire et les départements à avoir une école normale primaire. L'organisation de l'école publique se structure petit à petit.
Le règlement du 27 février 1835 relatif à l'inspection des écoles primaires recommande aux inspecteurs de donner une attention particulière » aux conférences d'instituteurs. Le règlement du 10 février 1837 en fixe les contours : « Les instituteurs primaires d'un ou de plusieurs cantons sont autorisés à se réunir, avec l'approbation de l'autorité locale et sous la haute surveillance du comité d'arrondissement, pour conférer entre eux sur les diverses matières de leur enseignement, sur les procédés et méthodes qu'ils emploient, sur les principes qui doivent diriger l'éducation des enfants et la conduite des maîtres. » La réflexion est strictement limitée à l'exercice du métier. L'expansion de ces conférences est toute relative, d'abord pour des raisons matérielles : peu de conseils généraux acceptent de les financer, des difficultés de communications routières. D'autre part on constate un manque d'enthousiasme des instituteurs ou une réticence pour certains à modifier leurs pratiques. La méfiance envers les instituteurs, considérés comme des foudres de l'ordre établi, fini par achever cette première histoire des conférences. Elles disparaissent avec la loi Falloux du 15 mars 1850 sur l'Instruction Publique qui fait une place importante à l'enseignement confessionnel.
- 1857-1878 - Les retraites pédagogiques
En 1857, les retraites pédagogiques apparaissent. Ce sont des réunions à l'École normale autour de l'inspecteur d'académie, des inspecteurs primaires, du directeur, de professeurs. Le dictionnaire de pédagogie de Ferdinand Buisson affirme que « ces retraites pédagogiques ont produit beaucoup de bien, mais elles ne se sont ni généralisées, ni maintenues, d'une part, parce qu'elles étaient onéreuses pour les départements qui avaient à supporter les frais relativement considérables de l'entretien des instituteurs convoqués ; de l'autre, parce que les instituteurs n'y prenaient pas une part assez active. Le conférencier seul parlait, les auditeurs se contentaient de prendre des notes. Il n'y avait ni échange, ni discussion et par conséquent pas assez de vie ».
- 1878-1914 - Les conférences pédagogiques
Il faut attendre 1878 pour que s'amorce une réorganisation institutionnelle des conférences pédagogiques. La circulaire du ministre de l'Instruction publique du 29 octobre 1878 incite les recteurs à se concerter avec ces inspecteurs d'académie pour élaborer un projet d'organisation de ces conférences. L'arrêté de Jules Ferry du 5 juin 1880 institue « des conférences pédagogiques d'instituteurs et d'institutrices publics, organisées dans chaque canton par l'autorité académique » dans lesquelles il sera traité des questions de « pédagogie théorique et pratique ». Les conférences deviennent obligatoires. Elles sont bi-annuelles jusqu'en 1902, date où elles deviennent annuelles. Le déroulé du programme est le même chaque année. Au-delà de la fonction de formation, la volonté de rompre l'isolement des instituteurs des petites communes est manifeste. La préparation et le déroulement des conférences est sensiblement le même chaque année. Quelques mois avant la conférence les instituteurs prennent connaissance du sujet à traiter dans le bulletin de l'instruction primaire. Par exemple, en 1881, « enseignement du français dans les écoles primaires. » pour l'arrondissement d'Avranches, « des divers moyens à employer pour développer l'émulation chez les écoliers et pour élever le niveau de l'enseignement dans les divisions d'une même classe. » pour l'arrondissement de Cherbourg. Les travaux doivent parvenir à l'inspecteur d'académie quelques temps avant la conférence afin qu'il en prenne connaissance et en fasse une synthèse. Les sujets portent essentiellement sur la pédagogie, sur la façon d'enseigner, elles peuvent également être thématiques.
Histoire des monographies d'histoire locale
- Naissance de l'histoire locale
Comme le souligne François Ploux dans son ouvrage, Une mémoire de papier, les historiens de village et le culte des petites patries rurales (1830-1940), « Les premières études exclusivement consacrées à une commune ou à une paroisse rurale furent réalisés par des antiquaires de Province au tout début de Louis-Philippe. En revanche, la réalisation de ces travaux s'inscrit dans le prolongement de l'entreprise de recensement du territoire national menée dans le cadre de la statistique du Consulat et de l'Empire. François Guillet dans Naissance de la Normandie, note que la période révolutionnaire est un moment essentiel dans l'histoire de la province, le découpage administratif qui en découle gomme les particularismes des régions à un moment où la France tend vers l'unité. La connaissance du territoire est un élément clé de cette [re]construction. L'entreprise institutionnelle qui se donne pour but de dresser un tableau de la France, à la fois bilan de la France d'Ancien Régime et bilan des changements survenus depuis 1789 suscite d'autres études menées par les provinciaux eux-mêmes, ressentant le besoin de retrouver leurs repères.
- L'apport des antiquaires
Les antiquaires de province prennent une part non négligeable dans ce processus, parfois associés aux enquêtes conduites par les préfets. Cet élan change quelque peu de nature à la Restauration, il s'agit alors de retrouver et de valoriser une identité aristocratique et de faire face au centralisme parisien. Les sociétés savantes se multiplient et on voit apparaitre une génération d'érudits qui consacre sa vie à l'étude et à la promotion de sa province natale avec des figures emblématiques comme Auguste Le Prévost, Arcisse de Caumont, et le manchois Charles Duhérissier de Gerville. Ce dernier, membre fondateur de la Société des antiquaires de Normandie sillonnait le Cotentin dont il entreprenait d'étudier la flore, la faune, les monuments, les mœurs, les usages agricoles et industriels, interrogeait les châtelains, les prêtres, les paysans, les anciens.
- Des bataillons d'historiens locaux
Les antiquaires firent très tôt appel dans leur entreprise d'inventaire à des informateurs locaux. François Ploux nous explique que ces derniers furent dans un premier temps recrutés parmi les petits notables de villages et que logiquement ils se tournèrent vers les hommes d'églises. Les instituteurs furent aussi mis à contribution mais plus tard car « le maître d'école de la Restauration ou des premières années de la Monarchie de Juillet, dont le niveau de culture était à peine supérieur à celui du commun des villageois ne pouvait faire figure d'interlocuteur valable. C'est aux inspecteurs primaires que Salvandy [ministre de l'instruction publique] s'adressa, en 1838 pour une enquête sur les monuments historiques des communes». Les lois Guizot modifient profondément le statut et l'image de l'instituteur et on fera à partir de cette époque de plus en plus appelle à eux. L'histoire locale bénéficie de ces progrès, l'instruction se démocratise, ce qui fait se grossir les rangs des auteurs de monographies communales. En parallèle ces dernières ont pu devenir un instrument politique et revêtir une fonction particulière, qui est de développer dans le cœur des paysans un sentiment d'appartenance à la patrie. (François Ploux, p.16). Une grande partie de ces travaux au XIXe siècle furent en outre des commandes adressées par leurs hiérarchies respectives aux instituteurs et aux curés. Les instituteurs sont sollicités dans le cadre des conférences pédagogiques, ou à l'occasion d'expositions.
Les monographies rédigées par les desservants d'une paroisse peuvent elles aussi être commandées à des occasions particulières. C'est le cas des conférences ecclésiastiques de 1866-1867.
Georges Grente dans son article paru dans la Revue d'histoire de l'Eglise de France nous rappelle « [qu'] En 1886, rompant avec la coutume des sujets de théologie morale ou dogmatique et d'écriture sainte, Msg Bravard proposait à ses prêtres, pour les conférences de l'année 1866, dans sa lettre n°23 du 18 janvier, un sujet d'histoire toute locale. Il portera, leur disait-il, « sur l'histoire religieuse de chacune de vos paroisses pendant la Révolution de 1789 et jusqu'en 1807, époque de l'arrivée dans le diocèse de Msg Dupont ». Tout comme les instituteurs, les curés furent très tôt mis à contribution par les évêques dans les entreprises d'histoires locales entre autres pour continuer à occuper le terrain de l'érudition de plus en plus investi par les laïques. Ces nombreuses sollicitations firent naître des vocations, c'est pour cette raison qu'on trouve à partir du XIXe siècle beaucoup d'histoires des paroisses publiées ou non dans les bulletins paroissiaux dont on a quelques exemples aux archives de la Manche parmi les travaux d'érudits (7J) et les pièces isolées (2J).
Une grande partie des notices proviennent d'un don de 1962 de Monsieur Delaunay, inspecteur primaire à Saint-Lô, elles proviennent peut-être des archives de l'inspection académique de la Manche (sous-série 1 T), les autres notices sont de provenances diverses. Il a été décidé de constituer une série ouverte pour accueillir de nouvelles notices qui pourraient parvenir jusqu'aux archives départementales. Les notices étaient auparavant classées par canton et avaient fait l'objet d'un microfilmage. Le classement par canton étant devenu obsolète et répondant peu au mode de consultation numérique, le classement par commune a été choisi, il facilite en outre les ajouts futurs.
Par ailleurs une partie des notices est issue de la numérisation de l'article 134 J 34 du Fonds Victor Gastebois, érudit de la région de Mortain, conservé aux archives départementales. Les notices qui en sont issues, ont dues être consultées par Victor Gastebois et intégrées à ses papiers.
Archives départementales de la Manche
Originaux :
Fonds Victor Gastebois 134 J 34
Notices géographiques des communes de : La Bazoge, Bellefontaine, Bion, Boisyvon, La Chapelle-Cécelin, Chérencé-le-Roussel, Coulouvray-Boisbenâtre, Ferrières, Fontenay-le-Husson, Heussé, Lingeard, Les Loges-Marchis, Le Mesnil-Adelée, Le Mesnil-Boeufs, Le Mesnil-Rainfray, Le Mesnil-Thébault, Le Mesnil-Tôve, Milly, Montgothier, Montigny, Moulines, Naftel, Notre-Dame-du-Touchet, Reffuveille, Romagny, Saint-Barthélémy, Saint-Jean-du-Corail, Sainte-Marie-du-Bois, Saint-Martin-de-Landelles, Saint-Symphorien-des-Monts, Savigny-le-Vieux, Le Teilleul.
Autres fonds en relation :
7 J collection de monographies d'érudits :
7 J 13 Mémorial de la paroisse de Boisyvon / HAVARD, Abbé Jean Fr. Paul. [XIXe]
7 J 16 Notes sur la paroisse de Clitourps / COUPPEY, Chanoine Louis Ernest.[XXe]
7 J 19 Histoire de la paroisse du Mesnil-Amey / DALIDAN, E. P. 1861
7 J 26 Anecdotes, souvenirs et faits historiques dans les cantons de Brécey et de Tirepied / DESFEUX, Jean-Baptiste.1849
7 J 29 Notes sur la paroisse de Sauxemesnil / LEROSIER, Abbé.[XXe]
7 J 32 Étude historique sur la paroisse Notre-Dame de Cérences / HULMEL, Abbé.[1914]
7 J 43 Histoire de Brévands / HOUET, Gervais.[XXe]
7 J 250 Cherbourg ou quelques pages de l'histoire de mon pays / BAZAN, Louis Jean Guillaume.1860
7 J 284 Histoire de la paroisse de Néhou depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours / LEBRÉDONCHEL, Abbé.[XXe]
7 J 285 Notice historique et géographique sur Les Biards / LENEVEU, A. 1914
7 J 286 Quelques mots sur la construction de l'église de Plessis / RAULT, Jean-Victor. 1890
7 J 288 La Croix-Avranchin : notice historique / GORON, Jean-Baptiste. [XXe]
7 J 296 La disette à Cherbourg pendant la Révolution (1793-1796) / JEAN, Charles. 1913
7 J 368 Manuscrit sur l'histoire de Villedieu-les-Poêles. 1853-[XiXe]
2 J Collection de pièces isolées :
2 J 886 Notice historique sur la paroisse d'Heussey, signée L. C. .
2 J 902 Notes de l'abbé Féron sur la commune de Périers-en-Beauficel ; notes sur la famille de Barberie de Reffuveille ; 2 lettres signées Le Tanneur. (XIXe s.-XXe s.)
2 J 2020 Notice historique manuscrite sur Hambye et les fondeurs de cloche Dubosq et Grente.
2 J 2040 Recueil de notes sur l'histoire de Saint-Lô, ses institutions, ses lieux-dits et ses grands hommes. (1901-1908)
2 J 2048 Notes historiques sur Valognes. (XXe siècle).
2 J 2051 Abbaye de Montebourg : monographies manuscrites des églises Saint-Jacques et abbatiales, polémique avec Paul Le Cacheux, correspondance entre l'abbé Victor Cauchon, Paul de Longuemare (de l'Association Normande) et François Dolbet, brouillons de relevés architecturaux, appréciations sur l'architecture antique. (1896-1901)
2 J 2316 Notes de recherche d'Edouard Lepingard sur le village de la Gouerie à Saint-Lô, avec quelques relevés dans les registres paroissiaux. (1883)
2 J 2545 Monographie agricole de la commune de Gouvets rédigée par Emile Delaunay. (1953)
2 J 2569 Conférence pédagogique consacrée à la géographie de la commune de Surtainville (1913), accompagné d'une présentation de la chapelle Sainte Ergoueffe (1924).
Monographies communales
François Ploux livre une étude très complète à ce sujet, de nombreux éléments de cette introduction à l'histoire des monographies de communales en sont inspirés. Pour plus détails sur ce sujet on consultera donc avec profit cette précieuse étude :
PLOUX (François) Une mémoire de papier, les historiens de village et le culte des petites patries rurales (1830-1940). Rennes : Presses universitaires de Rennes , 2011. (D 10092)
MARION (Yves), Saint-Jacques de Néhou : Une monographie communale retrouvée, in Revue de la Manche, Tome 50 - Fascicule 200, 2e trimestre 2008.
LEBREDONCHEL (Michel-Jean-Étienne) ; MARION, Yves (Préf.). Néhou depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours. Paris : Le Livre d'histoire , 2006.
Histoire de l'érudition au XIXe siècle
GUILLET (François) ; CORBIN (Alain) Naissance de la Normandie : genèse et épanouissement d'une image régionale en France, 1750-1850. Caen : Annales de Normandie , 2000.
PARSIS-BARUBE (Odile) La province antiquaire. L'invention de l'histoire locale en France (1800-1870). Paris : Éd. du Comité des travaux historiques et scientifiques, 2011.
Conférences écclesiastiques
GRENTE (Georges), L'histoire locale et le clergé, in Revue d'histoire de l'Église de France, Année 1937, Volume 23, Numéro 100, pp. 381-383.
Joseph Toussaint, Monseigneur Bravard, le sauveur du Mont-Saint-Michel, édition de l'Avranchin, 1978, p.189.
Histoire de l'éducation et de la formation des instituteurs
PROCUREUR (Chantal), L'enseignement primaire dans le département de la Manche du début du XIXe siècle jusqu'au triomphe de l'école de la République en 1914. Saint-Lô : Archives départementales de la Manche service éducatif , 2003.
VILLAIN (Jules) Fêtes du centenaire : école normale des instituteurs de la Manche, 100 ans et plus de son histoire, 1832-1936. Saint-Lô : Barbaroux , 1936.
HOUNZANDJI (Aimé), Formation pédagogique des instituteurs au XIXe siècle : de Guizot à Ferry. Mémoire de recherche de Master 2 en Sciences de l'éduction, Université Paris-Descarte, faculté de sciences humaines et sociales dirigé par Rebecca Rogers.
La formation des maîtres en France. 1792-1914, Recueil de textes officiels. Édité par Marcel Grandière, Rémi Paris, Daniel Galloyer. ENS Éditions, 2007.
Conférences pédagogiques
SARDELLA (L.-P.) Des conférences d'instituteurs aux demi-journées pédagogiques : une intuition détournée, in Recherche & Formation, Année 1988, Volume 3, Numéro 1, pp. 19-34.
BUISSON (Ferdinand), article conférences pédagogiques, in Nouveau dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire, Paris, Librairie Hachette et cie, 1911.
Pour les sujets des conférences pédagogiques consulter : Les Bulletins de l'Instruction Primaire de la Manche.